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Destinations de voyage

Le cofondateur de Lonely Planet partage les destinations qu’il refuse désormais de visiter

EN BREF

  • Tony Wheeler, cofondateur de Lonely Planet, ne visitera plus certaines destinations.
  • Motivations basées sur des raisons idéologiques et éthiques.
  • Destinations à éviter :
    • Russie : en raison de la guerre en Ukraine.
    • Arabie saoudite : non-respect des droits de l’homme.
    • États-Unis : désaccord avec la politique actuelle.
    • Bali : problèmes de circulation chaotique.

Le cofondateur de Lonely Planet, Tony Wheeler, a récemment annoncé les quatre destinations qu’il refuse de visiter à l’avenir, en raison de raisons idéologiques et éthiques. Il a notamment décidé de boycotter la Russie en raison de son rôle dans le conflit ukrainien, ainsi que l’Arabie saoudite en réaction au meurtre du journaliste Jamal Khashoggi et aux violations des droits de l’homme. Les États-Unis sont également sur sa liste, critiquant la politique de l’actuel gouvernement. Enfin, il évoque sa déception face à la circulation chaotique à Bali, malgré ses attraits indéniables. Ces décisions reflètent son engagement pour un tourisme plus responsable.

À l’heure où le tourisme de masse fait face à de nombreuses critiques, notamment en raison de son impact environnemental et social, le cofondateur de Lonely Planet a pris une position claire sur certaines destinations qu’il refuse désormais de visiter. Fort de ses expériences internationales, Tony Wheeler a récemment partagé une liste de pays qu’il a décidé de boycotter, en exposant les raisons idéologiques et éthiques qui l’ont poussé à une telle décision. Cet article explore en détail ces choix, en s’intéressant à leurs conséquences sur le tourisme responsable.

Une expérience de voyage au service de la conscience éthique

Avec plus de 170 pays visités dans sa carrière, Tony Wheeler a acquis une perspective unique sur le monde du voyage. Son expérience en tant que cofondateur de l’éditeur de guides Lonely Planet l’a conduit à s’interroger sur l’impact de ses choix de voyage. À 78 ans, il est désormais conscient des enjeux qui transcendent le simple plaisir de découvrir de nouveaux endroits. Ses décisions de boycotter certaines destinations sont le reflet d’un appel à une réflexion plus profonde sur les lieux que nous choisissons de visiter.

Une tournure vers le voyage responsable

La décision de boycotter des destinations ne s’inscrit pas uniquement dans une volonté de se retirer de certaines expériences, mais elle témoigne d’une prise de conscience croissante parmi les voyageurs. Alors que le monde est aux prises avec des conflits, des violations des droits de l’homme et des crises environnementales, le choix de nos destinations peut avoir des répercussions significatives. Cela pose la question suivante : en tant que voyageurs, avons-nous la responsabilité de dénoncer ces situations par nos choix de voyage ?

La Russie : un geste en réponse aux conflits

Le premier pays sur la liste noire de Tony Wheeler est la Russie. Sa déclaration est claire et sans équivoque : tant que la situation en Ukraine perdurera, il ne remettra pas les pieds en Russie. L’invasion de l’Ukraine par les forces russes et l’implication du pays dans des actions militaires ont suscité une condamnation mondiale. Il souligne: « Je ne retournerai pas en Russie aussi longtemps que ses dirigeants continueront de s’allier avec la Corée du Nord et les États-Unis pour attaquer l’Ukraine. » Cette position n’est pas seulement une réaction personnelle, mais un appel à la responsabilité collective de la communauté touristique.

Les tragédies du vol MH17

Les événements tragiques tels que le crash du vol MH17 de Malaysia Airlines, abattu en 2014, ont laissé une empreinte indélébile sur la conscience mondiale. Tony Wheeler rappelle que parmi les 298 victimes, se trouvaient des Australiens innocents. Cette tragédie, couplée aux atrocités causées par la guerre en Ukraine, soutient son refus de voyager dans un pays associé à tant de souffrances humaines. Il est important pour les voyageurs d’être conscients de l’impact de leurs choix et de se poser la question : où se situent nos valeurs dans nos décisions de voyager ?

L’Arabie Saoudite : des valeurs humaines en jeu

En ce qui concerne l’Arabie Saoudite, Tony Wheeler a exprimé son indignation face aux violations des droits de l’homme qui se produisent dans le pays. Le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, attribué au gouvernement saoudien, est pour lui un acte que tout voyageur responsable ne peut ignorer. Il souligne qu’un voyage dans un pays où de telles atrocités ont lieu serait une approbation tacite de ces injustices.

La question des droits des animaux

Wheeler évoque aussi un incident frappant lors de son voyage en Somalie, où il a été témoin de la capture de guépards destinés à devenir des animaux de compagnie en Arabie Saoudite. Fait incroyable, ces animaux sont ensuite euthanasiés lorsqu’ils deviennent trop grands. Son indignation est palpable lorsqu’il déclare : « Qui est assez stupide pour penser que des guépards peuvent être de bons animaux de compagnie ? » Cela met en lumière l’importance de considérer non seulement les droits de l’homme mais également les enjeux écologiques lors de nos décisions de voyage.

Les États-Unis : le mécontentement politique

Sur sa liste figure également un autre pays très controversé : les États-Unis. Tony Wheeler ne cache pas son inquiétude face à la politique actuelle menée par l’administration américaine, rappelant que les valeurs démocratiques semblant s’effriter ne peuvent être ignorées. Il fait référence aux « associés malfrats » du président Donald Trump et explique qu’en ce moment, il ne se sent pas en sécurité ou en accord moral avec le voyage dans un pays où de telles politiques sont mises en œuvre.

Un pays déjà exploré

Malgré son refus de voyager aux États-Unis, Wheeler n’oublie pas qu’il a déjà exploré la majorité des États américains. Il exprime un certain réconfort en se rappelant ses nombreuses visites dans des États tels que le Montana ou la Caroline du Sud. Cependant, il reconnaît qu’il reste encore quelques états à découvrir, mais ce n’est pas suffisant pour le convaincre de changer d’avis sur sa décision de boycott actuelle.

Bali : un paradis obscurci par des problèmes logistiques

Enfin, l’île de Bali, souvent considérée comme un véritable joyau en Indonésie, fait également partie de la liste de destinations que Tony Wheeler refuse de visiter. Bien qu’il reconnaisse la beauté et le charme de l’île, il ne peut ignorer les problèmes logistiques qui affectent gravement l’expérience des voyageurs. En particulier, il fait référence à la circulation chaotique qui rend le déplacement d’un point à un autre interminable.

Une expérience gâchée par les conditions de circulation

Wheeler exprime son exaspération face à des heures passées dans les embouteillages entre la plage de Kuta et Ubud, en urgence de redéfinir son expérience de voyage. Malgré son appréciation pour la gastronomie locale et les magnifiques paysages de Bali, il ne souhaite pas sacrifier son temps précieux à des déplacements interminables. Cela soulève une question essentielle : comment les infrastructures touristiques peuvent-elles être améliorées pour garantir une expérience plus agréable pour les visiteurs, et par conséquent, être plus respectueuses de l’environnement ?

Un appel à l’introspection pour les voyageurs

Les choix de Tony Wheeler ne sont pas à prendre à la légère. Ils représentent un mouvement vers le tourisme responsable et invitent chaque voyageur à réfléchir aux conséquences de leurs propres décisions. En mettant l’accent sur des éléments tels que les droits de l’homme, l’éthique animale, et les politiques environnementales, il incarne une voix pour ceux qui aspirent à un voyage plus respectueux et conscient.

Vers un futur plus conscient

En restant attentif à ces problématiques, chaque voyageur peut devenir un acteur changeant le paysage du tourisme mondial. Il est essentiel d’interroger les motivations derrière nos voyages et de considérer l’impact que nous avons sur les lieux que nous visitons. Les décisions de boycotter certaines destinations peuvent sembler extrêmes, mais elles peuvent aussi servir de catalyseurs pour des choix de voyage plus éclairés et responsables.

Le rôle des voyageurs dans la promotion du tourisme éthique

Les voyages sont une aventure précieuse, mais ils portent également une responsabilité. Les expériences de Tony Wheeler soulignent que chaque voyage peut influencer non seulement la perception d’un pays, mais aussi son développement économique et social. Les voyageurs ont donc un rôle clé à jouer dans la promotion d’un tourisme éthique, respectueux des cultures et des environnements qu’ils explorent.

Le tourisme de demain

En somme, les déclarations de Tony Wheeler résonnent en tant que défi pour les futurs voyageurs. L’avenir du tourisme dépendra de notre capacité à reconnaître et à agir face aux injustices qui se produisent dans le monde. En faisant des choix éclairés, nous pouvons contribuer à un développement touristique durable, où chaque voyage devient une opportunité de sensibilisation et d’engagement. Le changement commence par chacun d’entre nous, et il appartient à chaque voyageur d’adopter une attitude responsable face aux destinations qu’il choisit de fréquenter.

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Les destinations à éviter selon un globe-trotter engagé

À 78 ans, le cofondateur de Lonely Planet reste un fervent voyageur, mais il a décidé de dresser une liste de destinations qu’il refuse désormais de visiter pour des raisons éthiques et personnelles. Son récent témoignage révèle les raisons derrière ce choix.

Parmi les pays qu’il a témoigné boycottés, la Russie occupe une place centrale. Inquiet des récents événements géopolitiques, il exprime son indignation face aux conséquences tragiques de l’invasion de l’Ukraine. Pour lui, tant que les dirigeants de ce pays continueront à s’allier avec des régimes oppressifs, il ne mettra jamais les pieds sur ce sol. Il pointe également le nombre élevé de personnes innocentes ayant perdu la vie à cause de ces conflits.

Un autre pays sur sa liste noire est l’Arabie saoudite. Le cofondateur de la célèbre maison d’édition dénonce les graves violations des droits de l’homme, rappelant notamment le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi. Il évoque également les cruelles pratiques infligées aux travailleurs domestiques, tout en s’insurgeant contre la cruauté et l’inconscience qui règnent dans certaines pratiques culturelles de ce pays.

Les États-Unis ne font pas exception à sa liste. L’exaspération face à la politique actuelle, en particulier celle de l’ancien président Donald Trump et de ses alliés, le pousse à déclarer qu’il ne souhaite plus visiter ce pays. Malgré un grand nombre de visites dans différents États, il exprime une résignation amère face à l’évolution du climat politique et social.

Enfin, il révèle son mécontentement à l’égard de Bali, une destination par ailleurs prisée pour sa beauté naturelle. Bien qu’il reconnaisse les charmes de l’île, il ne peut faire abstraction des problèmes de circulation qui rendent les visites insupportables. Les longs trajets en voiture entre les attractions lui apparaissent comme une entrave à l’expérience de ce lieu paradisiaque.

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